• RENTREE DES CLASSES 

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    Ca y est, tout le monde a trouvé de quoi s'occuper pendant la journée : work or school. Pour moi ça sera donc... les deux. Depuis lundi je me retrouve à nouveau sur les bancs de l'école. Et quelle école ! Columbia University. Rien que ça. 

    J'avais commencé par foirer mes inscriptions (cf. épisode précédent) et trouver de l'aide auprès du nouvel homme de ma vie, Harry. Vous vous en souvenez surement. J'avais rendez vous lundi à 9.50am devant l'office pour connaitre mon niveau et mon groupe de travail, juste avant le premier cours. Tellement impatiente et un peu distraite par le fait de revoir le mystérieux Harry, que lorsque j'ai vu "moins 20" à ma montre, je me suis hâtée de rejoindre la fac à quelques minutes de chez moi. 

    Lundi. En arrivant devant l'office, personne. Je regarde ma montre : "moins 10". Weird... Les groupes étaient affichés. Je cherche donc mon name dans les listes et me trouve enfin dans la catégorie Advanced 2 ! Héhé ! En levant les yeux sur le nom de mes professeurs, je vois deux noms qui me sont complétement inconnus. F*ck ! Et juste sur la feuille du groupe d'à coté, je vois écrit en gros "instructor : Harry B." Whaaaaat? A un groupe près ???! Et là, grosse déception. Bah ouais... c'est la vie. 

    C'est à ce moment précis de ma dépression nerveuse qu'une fille de l'office arrive et me dit "Oh tu es très en avance ce matin!" Ah? Pourquoi? "C'est à 9.50am les cours, il est 8.50am." Paaaardon? La poisse me poursuiverait-elle ?.. bref, me suis gourrée d'heure. Qu'à cela ne tienne, je m'asseois donc on the floor et j'attends. J'attends. J'attends. Jusqu'à ce que la porte de l'office s'ouvre à nouveau et qu'ENFIIIN il apparaisse ! Me voyant, clochardant dans le couloir, il vient me voir, me dit hi et me demande si j'ai déjà trouvé mon groupe. I did. Il veut savoir lequel. Je lui dis. Il sourit (quoiii? ça t'étooooonne ?) et m'indique où je vais devoir aller lorsqu'il sera l'heure (oui je sais, je suis trèèès en avance ce matin...). Me souhaitant une bonne première journée, il s'en retourne à son travail, me laissant seule face à ma montre.

    C'était long. Mais les gens ont commencé à arriver au compte gouttes. Le couloir s'est vite rempli de chinois, de russes, d'espagnols, d'allemands, de japonais, de chinois, de portugais, de chinois, de vietnamiens, de chinois... et tout le monde a commencé à se masser devant l'office. Pour le coup, j'étais contente d'être arrivée (un peu) en avance. Bref, je vous passe l'attente jusqu'à 10:00am. Je me mets donc à l'endroit stratégique indiqué préalablement par Harry et rencontre les gens de mon groupe. Quatre françaises (grr) et des chinois. Voilà. Varié ! Notre prof arrive. Hi I'm Simon (à prononcer Saïmone), I come from China (sans blague...). Follow me. Il nous a fait faire un énoooooorme détour pour arriver juste au deuxieme étage au dessus de l'office, juste pour nous montrer toutes les entrées possibles. Inutile de vous dire à quel point j'étais perdue. Je pensais ne plus jamais pouvoir trouver la sortie ! On entre finalement dans une classroom et tout le monde prend un siège. Beaucoup d'étudiants semblaient déjà se connaître. On était environ 25 dans la classe. C'est énorme pour un cours d'anglais. Je ne me sentais déjà pas très comfortable. Bref Simon se représente à nouveau, et nous voilà partis pour un tour de table de présentations. Tout ce que j'aime... Puis il sort une balle en mousse (??). On s'est jeté une balle en mousse pendant deux heures en répétant les prénoms de chacun (21chinois sur 25) C'était coton. Et surtout, c'était nul. Bref, fin du cours, je me plante devant Simon. "Saïmone, please dis moi que je peux changer de classe..." Why? Je lui donne quelques raisons un peu farfelues, trop d'étudiants, niveau trop faible... blablabla. Okay, je vais me renseigner avec le prof du niveau supérieur.

    Mercredi, deuxième cours. Même groupe. Différent exercice : avec une grille de questions, poser le plus de questions aux autres en se déplaçant à travers la salle. J'ai cru que j'allais pleurer. Pourtant à la fin du cours, Simon revient vers moi et m'annonce que je peux dès le lendemain, passer dans le groupe supérieur. "Tu seras en Advanced 3 avec Harry B." Whaaat? Ahahahahaha.. je suis un génie. 

    Jeudi. Toc toc toc... un bonjour un peu timide en entrant dans la nouvelle salle, plus petite, avec tous les yeux rivés sur moi. J'avais un peu chaud. J'ai pas échappé au fameux tour de présentations pour que tout le monde voit bien que j'étais mal à l'aise. Sinon c'est pas marrant. Anyway, j'étais là, enfin ! Et lui aussi ! Evidemment, le cours commence sur la lesson des deux précédents cours. Donc je comprends que daaaalle. Le meuf a coté de moi essaie de m'expliquer rapidement le texte qu'ils avaient déjà lu mais en vain. Et je me suis dis "qu'est ce que je fous là...." Et là, mon sauveur à la rescousse, vient m'expliquer la lesson. (Merci Harry, tu es vraiment un père pour moi ! euh... non, oublies ça...). Bref le cours à continuer tranquillement, je me suis habituée aux nouvelles têtes qui m'entouraient, je me suis sentie à l'aise rapidement, et j'ai pu participer activement à la leçon.

    Qui dit nouveau cours, dit nouveau livre de cours. Evidemment, le bookstore de la fac étant en rupture de stock, je rencontre quelques soucis pour trouver ma bible. Mais, une fois encore, j'ai pas eu besoin de faire grand chose puisque j'ai un instructor très serviable qui m'a demandé mon adresse email pour m'envoyer toutes les infos sur ce fameux bouquin. Merciii. Après lui avoir donné (tu es sur que tu ne préfères pas mon numéro de portable?.. non?...) j'ai eu droit à mon petit clin d'oeil habituel (j'adooore^^) et je suis partie. 

    Je pensais ma journée parfaite. Bah non ! Pas encore ! Me traînant lamentablement dans la rue pour rentrer chez moi, quelqu'un me double en lançant un petit Hi! Non je vous dirais pas que c'était Harry puisque vous le savez déjà ! Et j'ai fait quelque chose que j'aurais jamais pensé faire de ma vie. J'ai accéleré juste assez pour rester à quelques mètres derrière lui pour voir où il allait. Je suis le diable!.. Bref, il s'avère qu'il m'a semé à côté de chez moi. Salaud ! Du coup j'ai du remonté toooute ma rue pour aller (tout de même) faire mes courses. Loose.

    Voilà. La journée s'achève. Mon article est strictement inutile et je m'en excuse profondément. Seulement, je me dois de tout dire ici. Mais les trucs cul-cul la praline !!... Sorryyyy about that ! Ahahaha !

     

     

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     ONCE UPON A TIME

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    Aujourd'hui a été un peu comme le jour parfait, celui qui ressource, celui où il n'y pas une seule fausse note, le jour qu'on attend tous, un peu impatients... bah c'était aujourd'hui !

    Hier, Lara m'annonce en quittant l'école avant même de me dire bonjour (elle a toutefois dit bonjour au chien...hm...) "Sego, I'm siiick !" avec une énergie assez déconcertante pour une souffrante. Voyant venir de trèèès loin le moment où ma host me dirait que sa fille resterait se reposer à la maison le lendemain, je préviens Claire qui devait me rejoindre à la première heure pour lui dire que le plan NYC allait bel et bien foirer... parce que mine de rien, je commence à la connaitre la cocotte et on ne me la fait pas à moi ! Pas que je mette en doute le fait qu'elle soit réellement malade. Bref. Je n'ai su que très tôt ce matin que Lara irait quand même à l'école toute la journée. Yeeees ! Je vous rassure chers lecteureuh zé lectrices, elle va bien. Claire prévenue, je pars la récupérer à Penn Station (un peu en retard...).

    La journée a commencé tranquilement par une petite visite de Bryant Park que Claire n'avait jamais vu, sur la 42ème rue. Au petit matin, cet endroit respire la tranquilité, à l'abri du bruit de la circulation. On s'est retrouvées au milieu de travailleurs peu pressés dégustant leur orange juice (pressés, eux, par contre !). Il faisait un grand soleil radieux déjà un peu chaud. C'était agréable après la journée pluvieuse de la veille. C'est comme ça à New York, le temps et les températures changent radicalement d'un jour à l'autre. Crazy

    On a ensuite décidé de se rendre à l'une des gares les plus connues du monde, j'ai nommé : Grand Central Terminal. Et en effet, c'était grand ! Marbrée du sol au plafond, des lustres immenses un peu partout et surtout, beaucoup de monde. Le lieu vaut vraiment le détour et quelques photos souvenirs s'imposent ! On avait presque des étoiles dans les yeux. Claire a pleuré... non je déconne ! Mais elle en revenait pas d'être là, et comme je la comprends. Bon.. c'était grand mais on a quand même rapidement fait le tour, car à part la Grand Salle, les quais restent des quais de gare. Nous voilà donc de nouveau dehors.

    On a alors sorti notre outil de base : le carte de New York ! Après avoir expliqué à 3 personnes que NON nous n'avons pas besoin d'aide pour trouver notre chemin, que OUI nous sommes Françaises et que AAAH OUI vous savez dire bonjour et merci en français? c'est bien ça... on s'est rendue à la Public Library, juste à côté de Bryant Park (oui parce que nous on aime faire des bornes pour rien !).

    Public Library. Grandiose. Indescriptible ! De grandes -- que dis-je? -- d'immenses salles de quiet working remplies de quiet students, éclairées par de petites lampes en opaline et encerclées par d'inombrables ouvrages aux reliures démentes ! Je me serais crue dans un des TV shows américains les plus famous ! Et nous, touristes de base, avec les appareils photos et les yeux tous ronds d'émerveillement... jusqu'à ce qu'on se fasse gronder par le vigile (ah oui il y a un vigile devant chaque salle. Ne me demandez pas pourquoi.) parce que non les filles on ne filme pas les gens comme ça ! C'est vrai ça, quelle idée saugrenue. Après en avoir pris plein les yeux, on est ressorties, non sans avoir laissé notre trace dans le cahier de doléance à la sortie. Un bon vieux "S. et Claire à New York !!! Wahouuuu" ne faisant pas de mal à nos égos !

    Comme on avait déjà un petit creux, on part en quête de nourriture -- comestible j'entends ! -- mais en vain. On se retrouve donc avec une kebab made in street chacune, sans oublier le dessert pris au Starbucks du coin. On a ensuite établi notre coin pic nic à Central Park. C'était bon. Mais très certainement bourré de comprimés euphorisants car il nous a soudain pris l'envie de faire d'étranges photos avec notre ami le retardataire. Le but étant d'être en l'air au moment du flash, pour avoir une super photo fun et rigolote !!... On a pas réussi. Mais on a pas manqué de prendre une bonne tranche de rire pour terminer le repas !

    Après avoir bien secouer nos bols alimentaires, on a migré vers Upper West Side, direction Columbia University. L'incontournable. Je prends mes cours là-bas et ça c'est la classe ! On s'y est rendues car, évidemment, j'avais précédemment fait une grosse boulette dans mon inscription.. fâcheux. J'y avais d'ailleurs rencontré le nouvel homme de ma vie (que nous appelerons désormais Harry pour une raison d'anonymat... et aussi parce qu'il a un prénom de merde. On peut pas être parfait !) et je vous avoue que je priais un peu pour le revoir aujourd'hui. 

    ...Comme je suis entrain de vous raconter une journée parfaite, vous vous douterez sans doute de la suite de mon histoire. Il était bel et bien là. Claire l'a tout de suite trouvé sublimissime (ne mens pas!) et j'ai pu adressé ma requête à ce charmant personnage de mon récit. Un peu trop occupée à scruter chaque trait de son visage pour le graver dans ma mémoire, bah j'ai eu vachement de mal (bizarrement...) à comprendre tout ce qu'il me disait de sa douce voix d'américain. Il est probable que ce soit également du à mon niveau pitoyable d'anglais. Le plus important étant qu'il m'ait comprise, j'étais ravie. Après quelques paroles courtoises et un petit clin d'oeil de sa part (AaAaaaaAah!), Claire et moi-même somme retournées à la réalité. C'est seulement en passant devant le premier miroir que j'ai croisé que je me suis aperçue qu'un bout de salade était resté coincé entre mes dents... Pas de chance, me direz vous?...

    Les jours parfaits n'existeraient-ils finalement pas?... Pas sûre...

     

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  • Le progrès implique toujours des risques. Vous ne pouvez pas voler la deuxième base en laissant le pied sur la première." Frederick B. Wilcox

     

     

    C'est un peu par hasard -- et un peu par chance aussi -- que j'ai pu applaudir, récemment, la fameuse équipe des New York Mets. Claire s'étant rendue au précédent match sous la pluie, ses places (enfin celles de ses hosts) lui ont été remplacées. Elle me propose gentillement de me joindre à elle pour le prochain match des Mets. Je soumets alors l'idée de contacter mon sauveur de Penn Station (cf. épisode précédent), grand féru des Mets, afin qu'il participe aux festivités. Il accepte. Mais c'était sans compter sur mon sens de l'organisation pitoyable. S'étant donné rendez vous à la station de subway de Time Square, les chances de se retrouver étaient, à la base, quasi nulles. Bingo. Pas de réseau sous terre, et impossible de mettre la main sur mon nouvel ami. Au bout de 20 minutes, j'ai choisi de l'abandonner à son triste sort et de continuer seule. Je sais. That is so mean...

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    J'ai, par contre, réussi à retrouver Claire qui m'attendait déjà depuis une bonne demie heure. La ponctualité n'est pas ma principale qualité, vous l'aurez compris. Quelle sensation étrange de se retrouver dans l'enceinte du stadium, face à l'immensité du terrain et des tribune ! On se sent vraiment minuscule... les joueurs aussi d'ailleurs, car sans l'écran géant, je voyais le même joueur en plusieurs exemplaires ! Bref. C'était absolument grandiose de voir à quel point l'américain de base est passionné par ce jeu, allant parfois jusqu'à brailler quelques injures à l'attention d'un des joueurs lorsque l'action traine un peu trop en longueur. Enfin je dis "action" mais en réalité, on s'est vite fait chier. Ne comprenant pas toutes les règles et le froid commençant à vraiment devenir insupportable, j'ai réussi -- après une lutte acharnée -- à convaincre Claire de partir et d'aller faire un petit tour à Time Square. Le temps d'avoir un métro et de bien se fendre la poire sur le trajet direction New York, nous y voilà déjà.

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    A 11pm, Time Square est éclairé comme en plein jour ! C'est à ce moment là que le cauchemar de Claire à commencé. En entrant par hasard dans un magasin de chaussures, elle a trouvé THE pair de ses rêves. Bien évidemment, il n'y avait pas sa taille (quelle idée de faire de 6.5 aussi franchement !!). Dépitée au plus haut point, elle a donc prévu de retourner voir quelques jours plus tard dans la seconde et unique boutique de la même marque. Elle ne les trouvera pas d'ailleurs. Voilà donc le cauchemar de la shoe inaccessible. Poor Claire... On est tous de tout coeur avec elle pour surmonter cette terrible épreuve. 

    Et d'ailleurs, des bruits détonnants de moteurs commencent à s'élever dans les rues et c'est bientôt des milliers de motards qui envahissent Time Square. On apprendra plus tard qu'il s'agissait en réalité d'un hommage aux victimes du 11 septembre 2001

    Vous vous doutez bien qu'on n'a pas quitté Time Square sans la traditionnelle visite d'un Starbucks. Et ouiii ! Nous voici donc à 1:00am, commandant le petit café (dans sa culotte) dans le plus vaste Starbucks de tout Manhattan. Je vous passe l'épisode du couple gay juste devant nous en train de se plotter dans tous les sens, pour vous rassurer sur l'état psychologique de Claire à ce moment de la soirée : elle s'est consolée en achetant une tasse à l'effigie du célèbre café. 

    Bon à 2:00am il a tout de même fallu songer à rentrer se coucher car réveil à 6:00am ! Réveil que j'ai -- au passage -- raté. Mais c'est un détail !

     

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  • Super Cou presents...

     

     

    Claire -- que je ne vous présente plus (vous n'avez qu'à suivre !) -- m'a proposé de la rejoindre dimanche après midi à Great Neck (Long Island) pour voir une expo' de vieilles voitures américaines. Ni une, ni deux, j'accepte, et me voilà déjà à Penn Station. Evidemment, si tout c'était bien passé, ça n'aurait pas eu d'intérêt.

    Donc pour commencer je rate mon premier train. Jusque là, pas de surprise. Comme il me faut un billet pour accéder au train, je pars à la recherche d'une borne. Je ne surprendrai personne en disant qu'une fois devant, j'ai créer un embouteillage rarissime. Je ne comprenais pas les différents tarifs : heures creuses, heures pleines.. bref un cauchemar. Après m'être battue dix minutes avec la bête, je me résouds donc à lancer un appel de détresse. Un peu paniquée, je me retourne vers la foule en délire. C'est la personne juste derrière qui a eu pitié de moi en premier. C'était un jeune autochtone d'environ mon âge. Il a -- évidemment -- réussi à m'obtenir mon billet en deux temps trois mouvements, essayant pas la même occasion de m'inculquer quelque vocabulaire supplémentaire. En vain. Mon meilleur dictionnaire restera.. bah mon dictionnaire.  Bref, me voilà désormais en possession de mon droit de voyage -- durement obtenu ! -- face à mon héros, pas peu fier de sa b.-a du jour. On échange un sympathique fou rire puis nos numéros et je l'abandonne pour partir à la recherche de mon deuxième train. Que j'ai eu ! Tadaaa!

    A Great Neck, la fête bat son plein. Je retrouve Claire, qui m'attendait -- faut bien avouer -- depuis déjà un bon moment. L'expo' fut brève mais intense. Bah oui c'est Great Neck. Par contre, il y avait un petit enclos avec des animaux, ce qui a fasciné Claire -- qui tripotait tous les moutons -- et lui a fait faire une découverte absolue : "Ah mais en fait le mouton il est aussi doux que de la laine !!"

     

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    Une journée ne peut pas être parfaite tant qu'on a pas franchi le seuil d'un Starbucks. On devient vite addict, je vous le confirme. Bref, on commande. La serveuse demande a Claire "Do you want some cream?". Le fait de répondre "Claire" aurait sans doute pu passer si la serveuse avait été ivre, ou malentendante, ou... non j'déconne, ça n'aurait jamais pu passer. Donc petit moment de solitude. Comme quand je lui explique qu'il me faudrait 35 heures pour aller de New York à Hanoï en avion et qu'elle répond que les journées ne font que 24 heures et que, donc, c'est impossible.

    Je me moque, je me moque... c'est vrai. Mais pour quelqu'un comme moi, qui ait souvent tendance à la dépression, c'est très important ce qu'elle fait... parce que c'est systématiquement débile, mais c'est toujours inattendu. Et ça c'est très important pour la santé du cigare. Merci.

    La journée est encore passée trop vite. Vivement la prochaine.

     

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  • Dressed to Impress

    Il paraîtrait qu'actuellement, à New York, nous sommes en pleine fashion week. J'imagine que mes sources sont fiables donc j'ai proposé une activité rigolote à mes twins qui étaient raaavies de s'ateler à la tâche. C'est toujours mieux que de regarder la vie de croisière de Zack et Cody sur Disney Channel.

    I guess...

     

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